Métachronique

Métachronique

lundi 10 décembre 2012

De la liberté sous la crinoline.


La reine s’envoie en l’air dans l’adultère, bouquine de la lumière à l’ombre des regards tandis que le fou son Roi court dans les prés, les cheveux au vent et fait résonner son rire grinçant dans le bureau du Conseil. Pendant ce temps, un médecin devient Roi et rêve de liberté.
Royal Affair est trop classique et c’est là son seul défaut. Ce volet de l’histoire danoise est tellement délicieux, les acteurs qui le jouent sont si envoûtants, qu’il ne manque plus au film qu’un rythme effréné, qu’une explosion du romantisme, restés tapis sous d’épais costumes d’époque.

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