Métachronique

Métachronique

vendredi 16 novembre 2012

Stupeur et tremblements.

 
Le cinéma est d’abord affaire d’image.
Je suis sortie de Rengaine avant la fin, prise d’une nausée insoutenable. Il est presque insolent de bâcler ainsi un long métrage. Trop gros plans et image dégueulasse de caméra amateur. Le cadreur devait être un aveugle, pris de spasmes. Ça bouge sans arrêt, c’est flou et la gentille histoire qu’on nous raconte est salie par une réalisation incompétente.
Le cinéma est d’abord fait d’images.
Rengaine n’est pas du cinéma.

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