Je ne parlerai pas du scénario,
du jeu puissant d’Idriss Elba ou de la noirceur profonde de Luther. La série
commence à peine pour moi et, déjà, elle me séduit.
Ce sont ses plans parfaits qui
m’ont d’abord aguichée et, depuis, je les dévore amoureusement des yeux. La
prise de vue n’a que faire des codes, les visages sont au bord du cadre,
fragiles, avec de l’air au-dessus, beaucoup d’air. La photographie est
révélatrice : Lorsqu’un personnage est filmé, tout autour de lui est flou
et en ressortent d’autant plus ses expressions, précises ; le jeu d’acteur
est mis à nu.
C’est une passion technique qui
se dessine entre Luther et moi, un jeu de regards complices, un point de vue
que je partage, que je comprends.
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