Ouh le casting alléchant !
Walken, Farell, Harrelson et Rockwell sous une pluie de tirs, de répliques
toutes faites, dans un méli-mélo de scènes géniales et de vacuité
scénaristique.
Le début de 7 psychopathes prend plutôt bien :
le rythme est soutenu, chaque personnage est présenté un à un, sans chichis.
Puis tout ce petit monde s’exile dans le désert –désert complet. Tout le charme
de cette comédie sanglante est alors balayé de poussière, le scénario est
enseveli, ne reste rien d’autre qu’un délire perso du réalisateur qui nous
laisse sur le bas-côté. Après d’amers baisers brugeois, Martin McDonagh a
décidément du mal à se faire une place dans mon cœur passionné.
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