Jouissif
de justesse et de naturel. La deuxième saison d'Irresponsable est
finie et c'était si bon. Pour tout avouer, j'ai complétement oublié
la saison 1. Je ne me suis souvenue que de cette impression de vrai,
de flemme, de régression. J'ai ri fort, toute seule, comme si
personne ne pouvait m'entendre, comme si c'était un peu honteux,
comme un plaisir coupable qui ne l'est même pas. Irresponsable est
irrésistible, Irresponsable l'est totalement, Irresponsable est
cathartique, libère, soulage. Et si la vie, c'était ça : des
imprévus, des erreurs, des conneries qu'on répète, de la weed qui
se consume, des mensonges insouciants, de la honte, un peu de gêne,
du chagrin, l'adolescence et en sortir, et puis rire parce que ça
soulage de tout. Rire parce c'est con, ça fait du bien, c'est débile
et génial. Juste rire.
Une
série qui défonce comme un joint, qui grise comme quelques verres,
qui éclate comme une bonne baise. Une série qui fait plaisir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire