Sexy
Dance 4 n’a pas retenu la leçon. Avec un scénario niveau première section,
seules la 3D et les chorégraphies donnent du relief au film. Le plus inquiétant
reste le premier degré, le manque bien trop cruel de recul et d’autodérision.
Qu’on
mette la caméra dans la rue - pour une fois - qu’on la fasse danser,
virevolter, l’objectif au raz du bitume et là, ce sera un film hip-hop, ce sera
du street-dance, ce sera vrai et rugueux.
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